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Découvertes

Elon Musk explique pourquoi il siégera bien au conseil économique de Donald Trump

Alors que la grogne enfle aux États-Unis après la signature du décret anti-immigration, le fondateur de Tesla est revenu sur les raisons du maintien de sa présence au conseil économique de Donald Trump, dont la première réunion se tient ce vendredi.

Elon Musk et Wendell P. Weeks, au centre, lors de la réunion organisée le 23 janvier dernier à la Maison Blanche entre les leaders de la tech et le président Donald Trump.
Elon Musk et Wendell P. Weeks, au centre, lors de la réunion organisée le 23 janvier dernier à la Maison Blanche entre les leaders de la tech et le président Donald Trump. Matt McClain/The Washington Post/Getty
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On vient de l’apprendre, le PDG d’Uber Travis Kalanick renonce à conseiller Donald Trump. Après avoir été la cible de vives critiques suite au décret anti-immigration contre des pays à majorité musulmane, le patron de l’application reine du VTC ne siègera ainsi pas au comité de conseil économique dont le premier rendez-vous a lieu ce vendredi 3 février, rassemblant les dirigeants de General Motors, PepsiCo, JPMorgan Chase, IBM, Wal-Mart, Disney ou encore Tesla Motors.

VOIR AUSSI : D'Uber à Google, la Silicon Valley face au décret anti-immigration de Donald Trump

Elon Musk, justement, a souhaité de son côté s’expliquer publiquement sur le maintien de sa présence dans ce comité. Dans un tweet publié dans la nuit de jeudi à vendredi, il affirme : "Lors de ce meeting demain, moi-même et les autres [CEO] exprimeront nos objections quant au récent décret sur l’immigration et feront des propositions pour changer cette politique". Il insiste également sur le fait qu’assister à ce meeting "ne signifie en rien qu’il approuve les actions entreprises par l’administration [Trump]."

Dans une lettre adressée à ses équipes, Travis Kalanick avait donné les mêmes explications qu’Elon Musk pour justifier sa participation à la table ronde. "Se joindre à ce groupe n’avait jamais été censé être un soutien au président ou à sa politique (…) C’est malheureusement exactement ainsi que cela a été interprété", a-t-il regretté. Jeudi 2 février, de nombreux messages sur les réseaux sociaux, regroupés sous le hashtag #DeleteUber, appelaient à boycotter l’application et à lui préférer Lyft (un service concurrent), le poussant ainsi au renoncement.

Pas sûr toutefois que les propriétaires de Tesla décident de revenir sur leur commande de Model X ou de laisser leur voiture au garage.

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