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LES OBSERVATEURS S'ENGAGENT

Droits des femmes, environnement, énergie: cinq projets engagés qui ont marqué 2017

Droit des femmes, environnement, énergie: cinq projets engagés qui ont marqué 2017.
Droit des femmes, environnement, énergie: cinq projets engagés qui ont marqué 2017.
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Partout dans le monde, des individus, des associations et des petites entreprises s’engagent pour protéger l’environnement, promouvoir les droits des femmes, venir en aide aux réfugiés ou encore permettre à des communautés d'avoir accès à l'eau et à l'électricité. De Lima au Pérou à Treichville en Côte d'Ivoire, retour sur cinq projets mis en avant dans notre rubrique "Les Observateurs s'engagent" en 2017. 

La rédaction des Observateurs de France 24 a lancé en 2016 la rubrique "Les Observateurs s’engagent", afin de valoriser des initiatives locales poursuivant les "Objectifs du développement durable" définis par les Nations unies. Grâce à nos Observateurs sur le terrain, notre équipe a répertorié une cinquantaine de projets cette année.

>> LIRE SUR LES OBSERVATEURS : "Les Observateurs s’engagent", c’est quoi et comment participer ?

 

ENVIRONNEMENT - Des Ivoiriens rénovent eux-mêmes leur avenue, du trottoir aux façades

En avril dernier, des habitants de Treichville, une commune de la capitale Abidjan (Côte d'Ivoire), en ont eu assez de l’insalubrité de leur quartier. Ils se sont alors retroussé les manches pour nettoyer les rues et redonner vie à leur avenue. Cette initiative bénévole a été saluée par le gouvernement. À la fin des travaux, la ministre de la Salubrité urbaine, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Ouloto, et la première dame ivoirienne, Dominique Ouattara, se sont même rendues sur place pour féliciter les bénévoles.

Quelques mois plus tard, pendant les vacances estivales, le collectif d'habitants s'est également fait remarquer en installant une "plage urbaine" dans leur quartier.

>> LIRE SUR LES OBSERVATEURS : À Abidjan, des Ivoiriens amènent la plage aux enfants dans leur quartier

 

DROITS DES FEMMES / SANTÉ   En Inde, des alternatives saines et durables pour les menstruations

Dans les régions pauvres d’Inde, nombre de femmes n’ont pas les moyens d'acheter des serviettes hygiéniques pour absorber leurs règles. En plus d’être chères, ces protections, présentées comme LA solution par de nombreuses associations, avocates et activistes, sont aussi très polluantes. Alors associations et start-up se mobilisent pour offrir des alternatives bon marché et écologiques à toutes les femmes.

IMMIGRATION / SOCIÉTÉ  "MaybeHere" : le site web d'un développeur informatique syrien pour retrouver les migrants disparus

En 2017, plus de 3 000 migrants ont disparu en mer lors de leur traversée de la Méditerranée, selon l’Organisation internationale pour les migrations. Pour aider les familles de ceux qui ne donnent plus signe de vie, un développeur informatique syrien a créé le site "MaybeHere" ("peut-être ici"). Il permet à chacun de signaler la disparition d’un proche qui aurait tenté de migrer. Grâce aux efforts de cette communauté en ligne, quatre migrants ont été retrouvés au mois de septembre. Cet article a été écrit en collaboration avec le site InfoMigrants.

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EAU / SOCIÉTÉ – Au Pérou, des "capteurs de brouillard" pour fournir de l'eau aux quartiers pauvres de Lima

Selon la Banque mondiale, 13 % des Péruviens soit 4 millions d’entre eux – n’ont pas accès à des "sources d’eau améliorées", c’est-à-dire à une quantité d’eau suffisante (20 litres par jour et par personne) et de qualité, disponible à moins d’un kilomètre de leur domicile. Ce problème concernerait plus d’un million de personnes dans les quartiers pauvres situés dans la périphérie de Lima. Depuis une dizaine d’années, l’association "Peruanos Sin Agua" ("Péruviens sans eau") cherche à pallier ce problème, en installant des "capteurs de brouillard" destinés à fournir de l’eau aux habitants.

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ÉNERGIE / SOCIÉTÉ – En Guinée, un professeur de maths électrifie seul son village natal

À Bolodou, les habitants avaient l’habitude d’utiliser des lampes à pile pour s’éclairer la nuit. Mais grâce au projet fou d’un professeur d'Ibrahima Tounkara, les 90 foyers de ce petit village isolé du sud de la Guinée ont désormais de l’électricité 24 h/24. L’an dernier, ce professeur de mathématiques a mis toutes ses économies dans la construction d’un micro-barrage sur un petit torrent traversant la localité. L’installation produit aujourd’hui une puissance de 9 kW.

Si vous souhaitez également nous parler de votre projet, contactez-nous par email (obsengages@france24.com) ou via notre page Facebook.

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